Dans le silence clair de la salle à l’étude
Intelligences vous bruissez
Et vos rêves s’élèvent,
Le savez-vous?
Le savez-vous?
Dans le silence clair de la salle à l’étude
Intelligences vous bruissez
Et vos rêves s’élèvent,
Le savez-vous?
Les narines des crayons 
Comme j’aime ce poème ! Oh souvenir des silences studieux ! On sent presque l’odeur de la salle en hiver, et celle de la craie.
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Et l’émotion pour celui qui orchestre et qui peut contempler tous ces esprits absorbés, grandissants! Ce sont les moments-pépites de notre métier.
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Cette question du dernier vers : tension de la tendresse tue, mais que l’on sent vibrer dans le silence.
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🙂 On ne peut décemment leur dire qu’on les aime tout le temps, on risquerait d’avoir des ennuis!
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