A Quyên. Que nos yeux ouverts apaisent l’amertume et soignent les fatigues.
Les yeux ouverts sondent
L’épaisseur et la lumière –
Fuyante étincelle.
Un haïku en attendant demain #03
A Quyên. Que nos yeux ouverts apaisent l’amertume et soignent les fatigues.
Les narines des crayons 
Merci Clémentine pour ce beau haïku ! Je me le dirai dans les moments sombres. ❤
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❤
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joli !
l’oeil clos, bien fermé
conserve la lumière
de son étincelle
esprit de contradiction oblige 🙂
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Je comprends M. Paresseux, c’est syndical pour vous, la contradiction 😀 Il faut croire que cet esprit-là m’est nécessaire, car mon mari est fait de la même matière!
Et votre haïku est bien juste aussi: la contradiction est fertile et fait tourner la grande boule à facettes de la vie. (En fait, la contradiction, c’est disco!)
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« Fuyante étincelle ». Comme la vie, et toute les belles choses fugaces .
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Les mots, ou la conscience, pour conserver le pâle reflet de l’émotion intense, instantanée, et éphémère…
Merci de votre passage!
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🙂
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L’étincelle ! le nom suffit à exprimer la joie.
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C’est vrai!
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