Pour l’agenda ironique d’octobre que notre cher M. Paresseux organise ce mois-ci. Il n’y avait qu’une photo, et après… débrouillez-vous. Enfin, si j’ai bien compris!
Parfois sur de vieux murs
Entre deux lacets de montagne
On laisse
A la lame des ans
Une inscription muette
CAFE
La vie est passée là
Nette comme quatre lettres
Mais les portes sont closes
La façade s’effrite
Grise comme mon cœur
Rêvant devant ces mots
Qui ne me disent rien
Qu’un passé silencieux
Comme les portes closes
Et la façade grise
m. Verlaine
En écriture ronde
Ce n’est pas le poète
C’est un homme oublié
Dont le nom est un leurre
Et seulement demeurent
Nos interrogations
Les narines des crayons 
Bon jour,
L’essentiel est là, l’interrogation, le questionnement, ainsi, aussi est faite une part de notre vie. 🙂
Merci à vous.
Max-Louis
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Merci à vous, Max-Louis, pour votre lecture!
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Bien vu, Clémentine ! Rester évasive sur le nom de l’enseigne fait la part belle à l’imagination 🙂
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Ou comment contourner le problème 😀
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😉
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Ah, mais il est loin d’être contourné, le problème. Il est en plein dedans puisque tu as saisi l’enseigne, l’ambiance, le ton, la photo. Tout y est ! Bravo Clémentine.
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Merci Anne! Ta lecture est toujours aussi gaie et généreuse que ton écriture: merci pour la joie des échanges.
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et bien vlan ! la vie, nette comme quatre lettres, et tout le reste…. j’aime, ça murmure, ça chante, et puis vlan ! (comme déjà dit)
🙂
bon, j’en connais un qui n’a pas encore écrit sa copie ;(
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Comme d’hab, sur le fil! Et comme d’hab, ce sera un dessert à la sauce paresseuse! (pour le coup, j’ai l’impression d’avoir fait un peu ma paresseuse ce coup-là: ce café… bon, on va tourner autour, ça ira bien!)
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ce qui est sûr : la sauce va être très paresseuse ; faut encore qu’elle fasse pas de grumeaux ou [pire] qu’elle tourne pas vinaigre 🙂
non, mais il est très bien ton poème.
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Dis, carnets, tu as reçu la fin de mon mail? Je crois que ma boite mail fait des caprices (il manquait plus que ça: après gosses et les chats)
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ai reçu, lu, répondu 🙂
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idem 😀
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hop, servi chaud ! http://wp.me/p3i9co-2Wf
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Une sauce aigre-douce, pourquoi pas 😀 En tout cas, moi, je me lèche les babines en attendant ce dessert-là!
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J’aime beaucoup votre texte sur le thème proposé : vous ne cherchez pas à résoudre l’énigme et malgré tout on ne reste pas sur sa faim car vous nous offrez un poème tout en nuances 🙂
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Je vous remercie de votre petit mot. Venant de vous, il me touche tout particulièrement.
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C’est gentil 🙂
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Quel beau poème Clémentine ! Tu as su capter l’ambiance et me transporter dans un élan de nostalgie mélancolique émouvant. j’aime particulièrement le début.Bravo ! 🙂
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Oh merci beaucoup Nadia d’être passée et de m’avoir laissé ce gentil mot
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Je t’en prie Clémentine, c’est sincère et un réel plaisir de te lire ! Bonne soirée ! 🙂
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J’avais point prévu mais, du coup, je me pose des questions !!
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😀😂
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