Joyeux anniversaire ma belle
Au solstice
Tu as ouvert les yeux sur tes ombres d’enfant et voilà
Maintenant
C’est l’été
Cru qui ne pardonne rien
Surtout pas les yeux clos
Éclatent dans le ciel blanc
Tes trente ans
Au solstice
Joyeux anniversaire ma belle
Au solstice
Tu as ouvert les yeux sur tes ombres d’enfant et voilà
Maintenant
C’est l’été
Cru qui ne pardonne rien
Surtout pas les yeux clos
Éclatent dans le ciel blanc
Tes trente ans
Les narines des crayons 
C’était hier les 30 ans de mon fils, un air d’équinoxe plutôt que de solstice mais vues les circonstances; on s’abreuve de petits bonheurs tant qu’ils veulent bien rester… Je t’embrasse Clém et bravo pour ce joli poème !
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Très chère Asphodèle, je suis vraiment désolée parce que ce poème doit être comme de l’acide sur une plaie pour ton coeur de mère. Je voudrais avoir des mots réconfortants pour toi et ta famille, je ne sais pas lesquels inventer à part ceux de l’amitié. J’espère que votre ciel va s’éclairer dans les semaines à venir. Je t’embrasse
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Non Clém, je ne raisonne pas ainsi sinon je ne lirais plus rien ! Ce ne sont pas les mots qui sont acides, ils sont réconfort sur nos plaies à vif mais la vie qui nous « fait misère », ça c’est dur ! Merci pour ta délicatesse et ton amitié ! ♥
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