En écho au très beau poème de Quyên posté hier sur Frog’s blog
Les jardins dorment
Dans l’hiver
Leur souffle fait
Une gaze grise
Sur le clocher
Le froid s’accroche
Aux lampadaires
Comme nos rêves
A la nuit floue
En écho au très beau poème de Quyên posté hier sur Frog’s blog
Les jardins dorment
Dans l’hiver
Leur souffle fait
Une gaze grise
Sur le clocher
Le froid s’accroche
Aux lampadaires
Comme nos rêves
A la nuit floue
les jardins dorment
les lampadaires
ronflent d’aise
(faux dromadaires)
dans la brume jaune
de leur fausse lumière
et les rois mages
cherchent l’étoile
sauront-ils passer les barrières
vagues et cruelles
le sel de la mer
le sable de la plage ?
Nos jardins dorment
grands cimetières.
un drôle de mélange entre deux poèmes lus ici.
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Un peu bizarre et marrant! 😀 😀
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en fait c’est bien un drôle de mélange, mais pas franchement marrant (c’était pour la blague – mais enfin, les lampadaires faux dromadaires, quand même!). La fin est … brrr… je ne vais plus voir mon jardin de la même façon maintenant!
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Marrants, les faux dromadaires ? c’est un peu chameau de dire ça !
le jardin de la fin fait écho à tes plages de l’autre jour.
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Oui, j’avais entendu la résonance…
C’est d’ailleurs encore plus terrible et vrai. Bref cela me donne envie de réécrire la fin du poème 😉
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ben, réécrit ! hop !
(en fait, je suis un peu coucou, à venir piquer les thèmes des poèmes des voisins)
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un coucou paresseux… un animal attachant 😀
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