Ma chambre était
Je m’en souviens
Profonde comme mes songes
Plus vaste que ma vie
Et l’horizon buvait
L’eau blanche des matins
Aux lignes de vos mains
Vos mains
Ma chambre était
Je m’en souviens
Profonde comme mes songes
Plus vaste que ma vie
Et l’horizon buvait
L’eau blanche des matins
Aux lignes de vos mains
Les narines des crayons 
La première strophe me touche particulièrement. J’ai déjà eu cette sensation, au réveil, que vous exprimez très bien.
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Souvenirs d’enfance si chers, si vifs… Quelle joie, quelle chance d’avoir eu dans l’enfance un espace physique et intérieur pour rêver…
parfois oui, encore, la chambre au réveil me semble vaste et profonde, toute chargée de rêves. C’est agréable!🙂
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🙂
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j’aime !
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Ah oui? Merci 😊
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C’est très joli, vraiment.
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Merci beaucoup !
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L’inspiration est revenue, belle, et bien là 😉
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Elle est rare, comme tu vois, mais d’autant plus précieuse🙂.
Merci de venir ici Esther!
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