A l’embrasure des pins le sentier porte au ciel
des espoirs aux pieds nus
Les mâts sont l’horizon dressé
comme mon cœur
Les mâts sont un peuple debout dans les cahots du monde
un peuple de flèches blanches qui ne croient qu’au vent bleu
un peuple les mâts
un peuple pour hisser
le pavillon des rêves
dont les pieds vont si nus que la vie les écorche
Alors, hissons bien haut le pavillon des rêves dans une vie qui souvent a trop tendance à nous écorcher.
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🙂
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Tout beau !
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Merci!Porquerolles, dans sa douceur, dans ses tourments, est si belle…
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Doux et beau !
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Merci!
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C’est joli, Clémentine, quand le regard s’élève vers l’espoir.
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Il ya sur cette île des regards qui se lèvent en même temps que la mer, et des tourments secrets au coeur des insulaires, dans la douceur des pins et des champs d’oliviers. Je ne suis vraiment revenue encore de cette dualité bouleversante.
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Ah ? Je n’ai jamais ressenti cette dualité, à Porquerolles. Mais chacun sent des choses différentes.
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Peut être est-ce parce que j’ai été accueillie par des enfants du pays, des gens qui vivent là, toujours, et la fête et la mer sont leurs deux horizons. Leurs bras sont grands ouverts mais la solitude perle au milieu de la fête…
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Mais l’île semble vouloir consoler ses enfants à force de douceur …
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J’aime beaucoup « les espoirs aux pieds nus » – c’est vrai qu’ils sont souvent fragiles les espoirs.
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Merci Marie-Anne!
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