Mars a vêtu les arbres
d’une robe de ciel clair
et de dentelle sombre
ils vont longeant ma route
patients, rompus au jour
et gorgés de nuit fraîche
dans leur intermittence
l’horizon a glissé
ses courbes encore blanches
et
imperceptible presque
un souffle
Quelle poésie ! Quand on la lit à voix haute, on ressent bien vos mots.
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Je suis heureuse de savoir que ce poème donne envie d’être lu à voix haute! Il est né aussi par la voix, dans la voiture (comme souvent…).
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