La forêt ne cache plus rien maintenant
Le ciel d’hiver se glisse fade et doux
entre les branches nues
Et sans ombre
Qui se contentent d’être des lignes
Privées d’éclat d’or ou de nuit
Elles s’offrent ouvertes en éventails
A
La lumière
Souveraine et tranquille
De décembre